forte. Mais, je ne crois pas plus qu'au silence absolu qu'au vide absolu. Plus de fausse opposition
dit calme et cri, violent. Pas de source, pas d'origine, mais tout un rapport geste simultané. Il faudrait donc plutôt vivre un silence dans des bruits immenses, dans leur paradoxe. Comme si, sans le savoir, cet écrit de maintenant prenait déjà son agrandissement des taches noires en sueur, et que, sans doute, sa marche va s'accélérer et s'élargir peu à peu. De plus en plus, et jusqu'à ce que je m'arrête, sans " prévu ". Mais, ce n'est pas moi qui écris, |