des écrivains, grâce à cela (?), n'est-elle pas plus ou moins fatale. Presque pour toujours, je résiste encore, le plus possible, à cette irréversibilité. C'est d'écrire comme une façon désormais de respirer moi-même. C'est aussi un combat pour faire une voie des voix entredes mots, des lignes et des bruits qui toussent dans des pages, sur des chaises et des tables. Une voie qui m'appartient tout au début, mais bientôt à l'Autre. Entre visible et invisible, plus de division, plus de mirage. Disons |